Et si on arrêtait de se comparer?

Et si, au lieu de chercher à rentrer dans un moule, on apprenait à s’aimer pour de vrai ?

Et si l’on arrêtait, juste un instant, de se juger à travers le regard des autres ?

Ce texte est une invitation à revenir à soi, à son corps, à son rythme. À redonner du sens au mouvement, non pas pour se transformer, mais pour se reconnecter.

La comparaison : un réflexe humain… mais à quel prix ?

La comparaison fait partie intégrante de notre construction. Enfants, on observe les autres pour se situer. Mais à l’âge adulte, surtout dans les périodes de transformation comme la périménopause, cette comparaison peut devenir une source de souffrance.

On ne se compare pas toujours consciemment. Parfois, c’est un simple défilement sur Instagram qui déclenche un malaise. Une silhouette, une peau lisse, un sourire figé sous la lumière du matin… Et soudain, on se sent « moins » : moins tonique, moins belle, moins désirable.

Mais posons-nous la question : à qui nous comparons-nous ? À des célébrités ? À des femmes retouchées ? À une version idéalisée, irréaliste et inaccessible du corps humain ?

Cette comparaison réveille souvent une forme d’insatisfaction corporelle. Et cette insatisfaction, elle naît d’un écart — entre le corps qu’on a, et celui qu’on pense devoir avoir. Plus cet écart est grand, plus on doute de soi, plus on s’épuise à essayer de combler le vide. Et moins on s’aime.

Mais cet écart n’est pas une fatalité. Il peut se transformer si l’on choisit de revenir ici, dans notre réalité, dans notre corps présent. En arrêtant de chercher à nous rapprocher d’un idéal impossible… et en apprenant à nous rapprocher de nous-mêmes.

Depuis toujours, on nous apprend à regarder autour de nous pour savoir si l’on est « assez » : assez belle, assez jeune, assez fine, assez performante. Dans l’adolescence, on compare notre corps. Dans la vie pro, nos résultats. Sur les réseaux, nos vies entières.

Et à la périménopause ? On entre dans une nouvelle phase où le corps change — encore. Comme une deuxième adolescence, mais sans le mode d’emploi.

Le souci ? Ce réflexe de comparaison n’a jamais été aussi amplifié qu’aujourd’hui, avec les réseaux sociaux. Une source infinie d’images, de performances, de perfection. On finit par douter. Par se demander ce qu’on a raté. Ce qu’on n’est plus.

Et toi, combien de fois t’es-tu sentie "moins" en te comparant ?

Et si on choisissait une autre voie?

Avec le temps, j’ai compris que la comparaison ne disparaît jamais complètement. Mais on peut choisir ce qu’on en fait.

💡 On peut choisir de se rappeler que chaque corps a son histoire. Que chaque personne a son rythme.

Moi aussi, j’ai connu ces moments où je me suis sentie "en retard", "en moins".

Adolescente, je regardais les autres avec envie, je n'aimais pas mon corps, mon nez, pas assez de poitrine, trop petite...

J'ai eu la chance d'avoir comme passion la danse et le fitness qui ont changé ma vision du corps à tout jamais. Le corps est devenu une source d'épanouissement, de force et de joie de vivre. Faites jouer une chanson pop des années 80 et me voilà partie sur la piste de danse. 

Avec le temps, en tant que créatrice de contenu, je scrutais les chiffres, les vues, les likes.... Mais le mouvement encore m'a sauvée.

À partir de 40 ans, j'ai arrêté de voir l'exercice physique comme une compétition, une façon de « sculpter » mon corps, j'ai redécouvert le plaisir du mouvement pour juste me reconnecter.

Le mouvement m’a réconciliée avec moi-même à travers le temps. Il m’a appris à ressentir plutôt qu’à juger. À observer ce que mon corps pouvait encore faire, et non ce qu’il n’était plus.

Et aujourd’hui, alors que je traverse la périménopause, je revis cette métamorphose. Une renaissance. Une acceptation. À plus de 51 ans, je me sens plus jeune qu'à 40 ans, plus consciente et plus sereine. 

Et toi, que te murmure ton corps quand tu bouges sans te juger ?

Peut-être que tu ressens une résistance. Une gêne. Une peur de ne pas faire « assez bien ». Et si tu l’accueillais ?

« Rappelle-toi : chaque pas, aussi petit soit-il, compte. Chaque mouvement est un message de bienveillance que tu envoies à ton corps. Ce n’est pas la performance qui compte, c’est la présence. »

💛 Bouger, un acte d’amour pour soi

Et si on arrêtait de croire qu’il faut toujours faire plus, plus vite, plus fort ? Et si, à la place, on choisissait de bouger pour le plaisir de bouger ? Sans pression. Sans objectif de performance. Juste pour le fun, pour l’élan de vie que cela réveille en nous.

Bouger, c’est d’abord un acte d’amour. C’est un cadeau qu’on fait à son corps. Un temps qu’on s’offre pour se reconnecter, respirer, sentir, exister pleinement.

Ce n’est pas un devoir. Ce n’est pas une punition. Ce n’est pas une case à cocher pour se sentir « assez bien ».

💫 C’est une célébration du vivant.

On a trop longtemps valorisé le résultat : le ventre plat, les cuisses toniques, la performance, le chiffre sur la balance. Mais ce qui compte, profondément, c’est le chemin. Le processus. Ce moment où tu te poses sur ton tapis, même pour 5 ou 10 minutes, et où tu choisis de te choisir. Ce moment où tu danses dans ta cuisine, sans miroir ni chrono, juste parce que la musique t’appelle. Ce moment où tu sens ton souffle qui revient, ton cœur qui s’ouvre, ton énergie qui circule.

C’est ça, ta réussite.

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Pas ce que tu « gagnes » en bougeant. Mais ce que tu ressens pendant que tu bouges.

Alors oui, on devrait en parler davantage. De cette joie-là. De cette liberté. De ce sentiment d’être vivante, vibrante, puissante. Et de ce plaisir enfantin qu’on a, quand on bouge juste parce qu’on en a envie.

Mon souhait : que tu retrouves ce lien-là avec ton corps.

Que tu célèbres chaque pas, chaque geste, chaque séance, peu importe sa durée.

Parce qu’à chaque fois que tu choisis de bouger avec bienveillance, tu dis oui à ton corps.

Et ça, c’est le plus beau des résultats.

 

Quand le regard se pose avec tendresse

Il y a une autre pratique qui m’a profondément aidée à faire la paix avec mon image : la photographie.

🤳🏻 Pas les selfies filtrés ou les photos figées à tout prix flatteuses… mais l’expérience d’être photographiée avec intention, bienveillance, amour.

C’est grâce à mon conjoint, qui est photographe, que j’ai pu me voir autrement.

Son regard m’a permis de poser un autre regard sur moi : un regard plus doux, plus honnête, plus aimant. J’ai vu mes rides, mes formes, mon visage qui change… et pour la première fois, je n’ai pas eu envie de me corriger. J’ai eu envie de me dire merci.

Je vous le conseille sincèrement : faites l’expérience d’être pris·e en photo par un·e photographe professionnel·le qui saura capter votre lumière, votre vérité, votre beauté réelle. Pas pour être flatté·e. Pour être vu·e, pleinement.

Parce que oui, notre regard est souvent plus dur que celui des autres. Je croise tous les jours des femmes magnifiques qui me parlent de leurs "défauts"… que je ne vois même pas.

Notre regard peut devenir un allié, un miroir bienveillant plutôt qu’un juge intérieur.

L’image a un pouvoir immense. Se libérer de celle qu’on a dans notre tête pour en créer une nouvelle, plus juste, plus tendre, plus humaine… c’est une vraie renaissance.

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C’est dans cette douceur partagée que se révèlent nos plus grandes forces.

Tu n’as pas besoin d’en faire plus. Tu as besoin de t’écouter davantage. Bouger pour te sentir vivante. Bouger pour t’aimer. 💛